Monday, April 30, 2007

PRINCIPE DE VIE

Sous la lumière d’une bougie
Je mette les verbes à couté
Je lève les monts entre mes bras
Pour que je grave un poème
Sur les mures de la vérité
Vers toi o ciel je parle
D’une souffrance que j’ai vécu
A cause d’un principe de noblesse
Un principe ne m’e concerne pas
Celui-là que s’appelle la liberté
Pourtant je suis condamné
Dans une prison se nommée
La société et les traditions d’ex
Comment je peux être moi
En même temps je suis toi
Mais tout a fait bien
Cette ambivalence du chois
Je peins des tableaux
Pour que je m’e sens un peut écarter
D’une société pleine des ratés
Je suis moi, comme je suis toi
Je suis eux, comme je suis lui
J’avais ma propre vie
L’art c’est mon prénom
La liberté c’est ma maison
L’Algérie est reste toujours mon pays

OUSAMA BOUNOUARA
Le 25 avril 2007
À 23h : 40 de nuit

LE NEANT

Vers la quel m’a était raconté
Sur des rêves que m’e réveillait
Sur la vérité que je l’ais cacher
Dans un tiroir de mon passé
Sur le soleil et la lune j’ai pleuré
Quant elles n’ont pas encore déversé
Sur l’unité de l’existence divinité
Je dessine la poésie à mes tableaux
J’écrire le dessine dans mes poèmes
Sur le pain et la gloire j’ai parlé
J’ai cherché le néant
Dans la recherche de soi
Je l’ais trouvé juste devant mon lit
Dans un coin à ma chambre privé
Il est bleu et presque nue
Assis sur les genoux
On dirait que l’uns des rites religieux
Il prenait dans ses mains
L’uns des identités




OUSAMA BOUNOUARA
Le 31 mars 2007
Vers 01h : 00 du matin