Friday, July 20, 2007

De temps en temps, nous faisons des relations pour que nous écartions l’ennui sur notre vie.
Mais se que nous ne savons pas, que y’avait parmi ces relations certainement une seule pouvait nos accorderai le bonheur éternelle.




Batna le 11/07/2007


Les choses que nous voulons de dire beaucoup, mais les choses que nous ne voulons pas le dire c’est pure encore…nous rêvons chacune dans son espace, mais se que nous ne savons pas que les autres aussi ils ont leurs propres rêves. Je me suis très contant parce que j’ai senti de l’amour enfin.
Le jour où j’ai déclaré mes sentiments vers toi NINA je me suis arrivé vers une splendide des paradis.
Pour la 1er fois je me sens l’amour, j’ai vécu l’amour, j’ai parlé avec l’amour, j’ai chanté sur l’amour, j’ai mangé l’amour, j’ai pleuré pour l’amour, …j’ai questionné l’amour, j’ai dessiné sur l’amour, …j’ai fumé l’amour…, Se qu’est beaux dans la vie, les relations d’hasarde parce que se sont vient de la nature, d’un langage mystique ils ont vient d’après la volonté de Dieu.
En tout cas, j’ai senti un beau sentiment dedans, j’ai essayé de lui déclarer, j’ai réussi dans le début, mais je me suis trompé dans la fin. Parce que j’ai pensé de mon coûté, et je n’ai pas donné l’importance vers les sentiments de l’autre coûté, c’est une faut que je ne pardonnerai jamais moi-même.
Ne sentons pas de la valeur d’un objet, sauf quand nous a perdu…mais la seule chose il faut nous a donné tout la valeur c’est l’amitié intime…
Pardonne pour le mal que j’ai fais NINA.
Enfin même vous m’avez pardonné je ne pardonnerai jamais mon péché.

Oussama certaine personne il pense toujours à vous.


أحيانا نقيم علاقات لنزيل الملل عن حياتنا، لكن لا ندرك أنه في إحدى تلك العلاقات
هناك علاقة واحدة حتما ستقدم لنا السعادة الأبدية.

Musicothérapie et Spiritualité

Un journaliste de « El Watan» dit que l’artiste peintre Oussama Bounouara est connu pour sa tendance mystique. Le musicothérapeute ne peut l’être moins. Faut-il que l’on vive dans une société matérialiste où seul le « flouss » compte pour avoir oublié que depuis les premières peintures préhistoriques toutes les religions ont utilisé les arts comme voie spirituelle pour atteindre l’expérience de l’Absolu quelque soit le nom qu’on lui donne. Maslow, fondateur de la psychologie transpersonnelle constate que dans la vie quotidienne l’art peut permettre d’atteindre de telles « expériences des sommets ».
Les images visuelles et les images sonores sont le langage de l’inconscient qui parle dans nos rêves et non le langage verbal rationaliste et rationalisant. Et au cœur de l’inconscient se trouve le Surconscient, point de contact entre l’essence de la personne et l’Absolu.
Comme la psychanalyse peut être spiritualiste (1) la musicothérapie peut être aussi spiritualiste avec deux des cinq styles de musique que j’ai définis (2) :
- La Transe est caractérisée par un paroxysme que le Boléro de Ravel exprime. Elle est vécue en particulier dans le soufisme mais aussi dans le chamanisme. Avec les mouvements spontanés du corps elle déconnecte du mental rationnalisant et nous plonge dans l’expérience non duelle (en termes bouddhistes) et d’Unité (en termes musulmans). Cette expérience peut être dangereuse et nécessite un apprentissage et un accompagnement. On peut devenir fou ou paraître fou aux yeux de ceux qui ne l’on pas vécu. Ainsi le soufi est fou d’amour pour l’Ami comme Madjoun est fou d’amour pour Leyla.
- Le Centré est exprimé dans de nombreux morceaux de Jean-Sébastien Bach, comme par la flûte d’un soufi, Il produit une extase dans la plus grand immobilité corporelle, soit étendu en relaxation soit assis en lotus, posture de méditation. Moyen aux antipodes de la transe, une telle musique conduit aussi, et sans danger, à une expérience non duelle d’Unité.


Michel Bon, Fès, le 4 juillet 2007

(1) Michel Bon, M-A Descamps : Psychanalyse et spiritualité, Ed. Trismégiste, 2006
(2) Michel Bon : Mandalas Sonores, Musicothérapie Analytique Transpersonnelle. Ed. Trismégiste, 2004

El watan – mercredi 23 mai 2007 N² 5026




El watan – mercredi 23 mai 2007
N² 5026

BATNA

La musicothérapie au menu

Le jeune artiste peintre BOUNOUARA Oussama, connu dans le milieu artistique pour sa tendance mystique contemporaine, a abordé dans une mémoire de fin d’études, l’influence de la musique sur le rendement et le comportement humain ; les résultats sont sans appel, le mélomane a, selon notre interlocuteur, développé une grande disponibilité à l’écoute et au dialogue. Après une séance de musicothérapie, une grande charge des soucis quotidiens, semble disparaître, sous l’influence de la bonne note, surement.
Cependant le jeune artiste émet des réserves sur la qualité de la musique, arguant que le bruit enregistré et vendu, ne peu être qualifié de mélodie. Néanmoins, si cette expérience est considérée comme une première chez nous, sous d’autres cieux, c’est une science à part entière. Questionnés à ce sujet, des volontaires qui se sont soumis à l’expérience. Disent avoir bénéficié d’une ordonnance gratuite et efficace.

Rachid Hamatou