Sunday, May 06, 2007

NINA




Je dédie ce poème pour tous qu’ont malle alaises… Qu’ont souffrent de la nostalgie vers leurs amoureux…
Et pour la plus gentille MOUNIRA.
Le 04 mai 2007 à 15h : 52
OUSSAMA BOUNOUARA – ZATARA


NINA…

La charmante que ma changé
Ma façon de vie ancienne
D’une sourire elle a détruis
Tous mes principes de vie
Elle à des yeux luisantes
Que je découvre dedans la vérité
Sa peau brillant comme une pièce d’or
Au profonde d’une rivière pleins d’eau fraîche
Une rose de colline le zéphyr, Ve-t-il suivra
On dirait qu’une mélode de joie
Sorte de la cithare d’un esprit sain
Quand je verrais mes doigts se frémir
Sans froid mais de l’intensité d’éblouissement
Un jour où j’ai été perdu et l’esprit ma conduite
Vers une école privée où j’ai croisé NINA
Les chiffres d’horloge se dispersent
Autour de mon espace privé
Mes pinceaux se sont devenant muet
Je veux juste vous admirer
Tante que vous été une rose parfait
Même si je ne parle pas
Mon inconscient est ma trahis
Ma langue se diffame mes sentiments
Je veux vivre une ballade non terminé
Pour que je peins la réalité
Donnez moi tes rêves je veux te réaliser
Donnez moi ta vie je veux te changer
Oh …mon cœur pourquoi tu me brisé
Pourtant vous été l’un de mes amis préférer
Je suis convaincu que y’aurai un amour parfait
Sans avoir je suis là pour lui me chasser
Oh...NINA ma princesse perdu
Vient m’enlevez le chagrin sur mes œuvres orphelines
Oh…NINA vient me sauvez
Mon petit atelier inconnu
Car la lumière de la bougie qu’elle se illuminé
Presque se recommence de disparaître

Tuesday, May 01, 2007

Comment vous pouvez être


Jour après jour et la vie se termine
Comme une fable classique
Comme un conte historique
Vous recommencez avec une page blanche
C’est la naissance d’un bébé innocent
Et tu dois terminer aussi avec la même page
C’est la mort avec le linceul
Entre les deux y’aurai ta vie
Que vous choisi comment sa soit
Et tu vivras des beaux moments
Comme tu vivras des mauvais aussi
La vie c’est un chois
La naissance et la mort c’est deux fatalités
Parmi les beaux moments
L’amour de l’adolescence
C’est une illusion fantastique
Je vos écrit ce moment comme j’ai vécu
Sans savoir le sens d’amour
J’ai trouvé moi-même
De parler sur un sentiment incognito
D’un sentiment que je l’ais trouver
Interdit de lui parler dans ma société
Une odeur de sentiment que brule
Care l’amour est très difficile
Des poèmes fait écrire sur les mures des cellules
Une horloge s’arête quand le temps d’amour se recommence
Je suis là comme je suis là bas
Sauf que moi et ma belle charment
Nous étions protégées
D’un gardien que se nommé l’amour
OUSAMA BOUNOUARA

MON AMI INTIME

Après une longe patience, je suis maintenant liber, tu sais c’est un vraiment besoin pour que les peuples fiassent des révolutions à cause de leurs libertés.
J’ai été tellement occupé dans ma tété je voudrais s’explosée dès maintenant
J’ai rêvé de plusieurs choses, j’ai tracé des voyages, des ballades, réalisation des projets,…ainsi de suite. Je peux faire toute ca aujourd’hui tante que je suis liber, y’a aucune choses m’attacher.
Je peux faire même des relations d’amour et d’amitié…je peux travailler à mon domaine préférée. He …oui l’art c’est un oxygène pour moi, c’est mon ami fidèle, je lui donné toutes mes secrètes, lui ne l’eux déclarez à personne.
De temps en temps je pleure uniquement, lui seul que m’a soutenu dans la plus parte de ma tristesse. Il s’avait toute ma vie de l’enfance à ce jour. Il m’a donné la joie, le tendresse, le plaisir, …même le jour où j’ai décidé de quitter l’Algérie lui seul que m’a compagne dans le voyage.
Comment voulez-vous de moi que j’oublier ce bon ami intime. Le contraire je lui donner une promesse que reste son esclave jusqu’au boute de ma vie, t’inquiète pas mon frère ART je suis juste à couté de vous…. (À suivre).


OUSAMA BOUNOUARA
LE 28-04-2007
BATNA à 21h :47 de nuite

Ballade d’art …

Bonjour mes amis
Aujourd’hui je vais raconter mon ballade, j’ai été 14 ans quand je recommence ma première relation d’amour, dans un lieu très impressionnant on dirait que une église, une charment blonde avec des yeux bleu comme un océan, un gabarié que faisait d’après un sculpture géant, des chevaux comme le silence du bout de mère.
Je lui rapprocher un peut, j’avais un trace dans mes inconscients. Mais quand même j’ai fait un effort, au profonde de moi j’ai été perdu comme un bébé qu’il a dispersé dans une ville sans des parents. Et je suis entraîne devais arriver, J’ai vue des milliers d’images dans ma subconsciente. Des images pleines de la satisfaction et d’honneurs, j’ai vue moi-même comme l’un du fils d’une famille noble.
Je suis presque arrivé vers la blonde et dès que j’ai recommencé de parler j’ai rappelé que je ne termine pas une toile de peinture et sans faire attentions je lui raconter mon histoire avec l’art, avec les premiers dessin d’enfance. J’ai été pleines d’émotions, je ne savais pas la définition de ces derniers dans la psychologie, …tristesse, joie, colère, amour, haine, c’est une vraiment ambivalence quelque parte, mais de ma parte j’aimé cette situation. Mais je suis sur que elle n’a rien comprit, mais l’essentielle j’ai parlé sur mes refoulements d’amour j’ai été comme un oiseau prisonnier. Que cherche de la liberté.
Peut-être d’autres gens comprend que je suis malade où je m’e souffre d’une trouble psychologique, oui …peut-être même de ma parte j’ai ponce à cette manière. J’ai donné à moi-même des milliers et des milliers de causes et d’excuses. Pour que je sois équilibré. Mais à la fin j’ai comprenais que ce n’est pas la pante d’être en bonne image où mauvais. Mais le nécessaire d’être moi-même.


OUSAMA BOUNOUARA
Le 21-04-2007
A 00h :30 de matin